Le souffre-douleur, un bouc émissaire ?

 

souffre douleur, bouc émissaire

Le souffre douleur n’est pas toujours bouc émissaire.

Le souffre douleur révèle une pathologie de la relation : un pervers fait souffrir une victime. Processus potentiellement sans fin car plus la victime souffre, plus l’auteur en tire plaisir voire jouissance. Le souffre douleur peut devenir bouc émissaire si d’autres personnes le stigmatisent, lui adressent des reproches et considèrent que la situation générale s’améliorerait s’il n’était plus là.

Ainsi le souffre douleur n’est ps toujours bouc émissaire et le bouc émissaire peut ne pas être souffre douleur.

Voyez ici l’intéressante typologie que dresse Rémi Casanova lors d’une conférence sur le harcèlement à l’école (il s’agit d’une vidéo).